Le duelosaure est l'ancêtre du duel, il est plus gros et plus grand et plus magnifique, à l'instar du trouosaure et qui est l'ancêtre du trou.
Le duelosaure implique les trois mamelles de la vie : d'abord le don de soi par le biais de la répartition des richesses que l'on peut constater dans le premier film, puis un entracte de divertissement pour se relaxer dans le sublime, et enfin un autre film dont la moustache du protagoniste principal irradie selon toutes les possibilités de l'espace temps :
Ici, des gens font un don de slip au parasite en chef d'un ville où il fait chaud. Par ce geste, ils souhaitent le remercier pour ses services de répartition de la superficie entre tous dans l'égaliteuy, c'est-à-dire en interdisant avec des prisons car sinon :
Merveille du cinégasme ! Voici la puissance originelle des univers réincarnée par tous les orifices. Ce film est une magnificence que même Noah et Transcendence ne peuvent rivaliser sans s'avouer vaincu en trois minutes ou plus. Il est bien possible que l'histoire du cinéma s'achève ici faute de possibilités d'aller plus loin. Attention, trop de plaisir peut vous endommager le neurone, la modération a bien meilleur goût. Soyez circonspects et regardez-le treize fois de suite mais pas plus :
Le fessologue le plus brillant de sa génération nous informe sur certains sujets, notamment les petits chiens d'appartement :
Et c'est tout, mais c'est déjà beaucoup.
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